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Pionniers de la distribution

Avec la complicité de son ancien employeur Marco Kaempff, qui s’associa comme actionnaire, Nicolas Hansen ouvre en 1951 une épicerie au coin de la rue des Bains et de l’avenue de la Porte-neuve, sous le nom alima. Au fil des opportunités qui se présentèrent, ce premier point de vente a été agrandi en intégrant dans une première phase un ancien garage adjacent, puis une boulangerie voisine du côté de l’avenue de la Porte-neuve.

Avec les agrandissements, les premiers rayons en libre service faisaient leur apparition, précurseurs des supermarchés qui avaient vu le jour entretemps de l’autre côté de l’Atlantique.

« Il ne faut pas oublier qu’à l’époque bon nombre de produits étaient vendus en vrac, que ce soient des pâtes, du riz, du café ou autres œufs, » nous confie Nicolas Hansen.

 

En 1959 venait s’ajouter un deuxième point de vente, mais la loi sur les filiales en vigueur à l’époque interdisait que celui-ci opère sous la même enseigne alima. Après un concours d’idée, le nom « A-Z » était adopté et le premier « self-service » ouvrait ses portes au 15, avenue de la gare.

 

Dix ans plus tard, avec l’ouverture du Centre Bourse, l’alima original trouve en 1969 l’emplacement qu’il occupe jusqu’à aujourd’hui au 11, avenue de la Porte-Neuve. En 1974, un premier agrandissement double la surface qui atteindra 800m2.

En 1980 une nouvelle succursale ouvrait ses portes avenue du Dix Septembre à Belair. La loi sur les filiales ayant été modifiée, celle-ci se présente sur quelques 750m2 sous le nom d’alima-belair.

Après le déménagement de l’imprimerie Saint-Paul pour Gasperich, A-Z vient occuper une partie des anciens locaux de l’imprimerie à la rue Bourbon et prend finalement le nom alima gare.

En 2006 alima-bourse s’agrandit une nouvelle fois avec l’ajout d’une surface de plus de 500m2 au sous-sol, dédié à la parfumerie, à la droguerie et aux articles de décoration.